À peine installé sur le banc de Manchester United, Ruben Amorim vit déjà ce que beaucoup de ses prédécesseurs ont enduré : un club transformé en théâtre permanent, où chaque faux pas devient un scandale national. Comme dans un Truman Show grandeur nature, tout est scruté, amplifié, commenté. Trois matchs sans victoire, une élimination précoce en Coupe de la Ligue face à Grimsby (D3 anglaise), et déjà la pression s’abat sur le Portugais, présenté comme l’homme du renouveau. Le parallèle avec Jim Carrey, prisonnier malgré lui dans une émission de téléréalité, n’est pas fortuit. Amorim n’est pas seulement entraîneur :…
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